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dimanche 25 octobre 2015

Reapers Motorcycle Club, Tome 1 : Possesseur - Joanna Wylde



- Alors pourquoi t'appelle-t-on Horse?
- Parce que je suis monté comme un cheval," répondit-il, avec un petit sourire.



Marie n'a vraiment pas besoin de la complication que représente Horse. Le biker dure à cuire, massif et tatoué qui déboule chez son frère un après midi, lui, n'est pas d'accord. Il veut Marie sur sa moto et dans son lit, tout de suite. Mais Marie vient à peine de quitter son abruti d'ex mari violent et elle ne veut pas d'un nouvel homme dans sa vie. Encore moins un comme Horse - elle ne connait ni son vrai nom ni l'endroit où il vit, elle est sûre à quatre vingt dix pour cent qu'il est un criminel et que les affaires dont il traite avec son frère n'ont rien à voir avec le design de site web. Elle a besoin qu'il sorte de sa vie et se serait plus facile s'il arrêtait de lui donner d'époustouflants orgasmes.

Horse fait partie du
Reapers Motorcycle Club et quand il veut quelque chose, il le prend. Et il veut Marie mais devenir sa propriété ne parait pas l'intéresser.
Puis son frère vole le club et Marie a l'occasion de le sauver en donnant à Horse ce qu'il veut, à la maison, en public, sur sa moto. Et si elle est une très très gentille fille, alors elle pourra gagner bien plus que ces orgasmes que lui seul peut lui offrir et son frère aura la vie sauve.
Peut-être.

(Trad' Miss So - Forum BdP - Merci à elle!)
sortie juin 2015


 
    - Lecture finie -

Une chronique très courte = Une déception




Là ou j'attendais de la passion à tous les virages, j'ai trouvé ça désincarné. Un récit qu'on oublie au final assez vite. Marie s'offre à Horse pour couvrir les dettes que son frère à contracter envers le gang de motards dont fait partie le héros.

Le postulat de départ est alléchant mais les personnages manquent cruellement de charisme. Il est assez fade et elle ne m'a pas touché. Le récit se laisse lire mais il est de ceux qu'on oublie très vite. Servi par beaucoup de clichés sur le monde des motards, je n'ai pas été transporté. J'ai vu que le tome 2 est largement meilleur mieux noté que le premier opus. Je me laisserai certainement tenté par cette suite pour avoir un avis définitif.









Des coups sonores m’ont réveillée brusquement. Je ne savais plus où j’étais ni ce qui se passait. Horse a poussé un grognement, et je l’ai imité. J’avais un mal de tête infernal. Trop de bières…

Oh, merde ! La soirée, le cul. Horse qui tabassait à mort ce type. Ça ne présageait rien de bon.

— Horse, l’ai-je hélé à voix basse.

De nouveaux coups. Quelqu’un frappait à la porte. Il a levé les paupières, et des yeux encore lourds de sommeil se sont posés sur moi. Il a souri, sa main a pressé mes fesses, et j’ai senti contre mon ventre la preuve de son désir.

— La ferme, bordel ! a-t-il hurlé en direction de la porte.

J’ai sursauté. Il m’a fait rouler sur le côté pour se lever et s’est dirigé vers la porte, camouflant tant bien que mal son érection matinale à l’intérieur de son caleçon. Visiblement, il était résolu à mettre un terme à ce tapage.

— Horse ! me suis-je écriée.

Il s’est retourné vers moi, visage interrogateur.

— C’est sûrement les flics. Ils sont venus t’arrêter. T’es sûr que tu veux ouvrir la porte ? Tu ferais peut-être mieux de sortir par-derrière pendant que je les retiens.

Mon inquiétude l’a fait sourire, et il a secoué la tête, perplexe.

— Marie, bébé, on n’est pas dans un film, s’est-il moqué. Ce qui s’est passé hier soir, c’est les affaires du club. Aucun flic n’en entendra jamais parler.

— Mais tu l’as presque tué, ce type ! ai-je répliqué, yeux écarquillés. En général, ça ne passe pas inaperçu, que ça regarde le club ou non.

— C’est pas un problème, a-t-il affirmé, en secouant la tête encore une fois. On gère ce genre de trucs nous-mêmes. Si je l’avais tabassé sans raison, ça provoquerait un sacré grabuge, t’imagines même pas. Mais un putain dehangaround qui tire sur la meuf d’un Reaper ? Complètement bourré et incontrôlable ? Il a de la chance que je me sois occupé de lui avant que Boonie s’en charge. Il a insulté les Silver Bastards autant que moi, putain. Et, d’après ce que j’en sais, Boonie a fini le boulot après mon départ. Maintenant, monte t’habiller. J’adore la façon que tu as de me regarder, mais ta chatte se voit, et je croyais t’avoir dit que je n’étais pas d’humeur à partager.






Je l'étudiait en plissant les yeux. J'avais un mauvais pressentiment à ce sujet. Mais les mots sortirent de ma bouche, complètement en dehors de mon contrôle.
"Alors pourquoi t'appelle-t-on Horse?"
"Parce que je suis monté comme un cheval," répondit-il, avec un petit sourire.
source site "dans notre petite bulle"

L'extrait :
Comment je pourrais décrire cette première virée ?
Bien, pour commencer, la moto vibre. Beaucoup. Je suppose qu'au bout d'un moment ça endormirait les fesses, mais pendant ces quelques minutes j'ai eu le sentiment d'être assise sur le plus grand sex toy du monde. Ca ne faisait pas de mal que mes bras entourent solidement un mec canon et musclé qui avait très clairement indiqué qu'il appréciait mes atouts.

source site "dans notre petitebulle"