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mardi 18 février 2014

Les vampires de Chicago Tome 2 : Petites morsures entre amis de Chloe Neill

 


Va te faire mordre
















Le résumé :
Des vampires À Chicago ?
En apprenant ça, les citoyens auraient dû partir en chasse… eh bien, pas du
tout ! Nous sommes devenus des stars et nous devons tenir à distance les paparazzis, presque si redoutables que les pieux et les crucifix. Mais ce fragile équilibre risque d’être rompu à cause d’un journaliste décidé à révéler l’existence des raves, ces orgies où les vampires regroupent les humains comme du bétail avant de s’offrir une petite beuverie.
C’est pourquoi Ethan Sullivan, mon Maître, me demande de renouer avec ma famille afin de faciliter les interactions entre humains et vampires. Mais quelqu’un ne voit pas ça d’un très bon oeil. Quelqu’un qui nourrit une vieille rancune…





L'extrait :
Un ultime pas, et il fut près de moi. Je sentis son corps derrière le mien, ses lèvres sur ma peau, juste en dessous de mon oreille, et la chaleur de sa respiration dans mon cou. Je reconnus son odeur - propre, savonneuse, étrangement familière. De façon troublante, je désire me laisser tomber dans ses bras afin qu'il me serre contre lui.
[...]
Il secoua la tête, riva son regard sur ma bouche puis ferma lentement les paupières. Il se pencha davantage et posa ses lèvres sur les miennes, se contentant de me taquiner, de me frôler, sans vraiment m'embrasser. Mes yeux se fermèrent malgré moi. Je sentis ses mains sur mes joues, ses doigts sur mon menton, et entendis sa respiration s'accélérer alors qu'il me couvait de baisers, m'embrassant partout, sur les paupières, les tempes, sans s'arrêter sur ma bouche.
- Tu es tellement plus que ça.


Ce furent ces mots qui me perdirent et scellèrent mon sort. Mon corps s'embrasa, sembla vibrer, et je m'alanguis sous ses caresses qui attisaient mon désir, m'incitaient à m'abandonner à lui.





L'extrait :
Ethan.
Je n'avais pas même murmuré son nom, je l'avais simplement prononcé dans mon esprit. Il émit un grognement triomphant avant d'emprisonner ma langue dans la tiédeur de sa bouche pour mieux jouer avec elle.
Je m'abandonnai à ses baisers et les lui rendis, le laissai m'attraper par les hanches, glisser ses mains sous le tissu de mon tee-shirt, effleurer ma taille et caresser mon dos, m'attirer à lui. Une sorte de grondement, de ronronnement de prédateur, émana de sa gorge, puis il prononça mon nom. Ce n'était plus une question, mais une façon de clamer sa victoire.
Il se colla à moi, remontant lentement sa main ouverte le long de mon dos, et je sentis la puissance de son érection contre mon ventre.
Je pris son visage entre mes paumes, ses cheveux blonds soyeux chatouillant ma peau, et me perdis dans de longs baisers voluptueux entrecoupés de légers mordillements.
Jusqu'à ce qu'on frappe à la porte.